tag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post4748563473144870213..comments2024-03-28T23:24:38.339+01:00Comments on Hydrauxois: Les Amis de la Sélune, faux-nez du lobby des pêcheurs de saumonHydrauxoishttp://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comBlogger17125tag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-53867739669566472092018-03-12T22:19:13.422+01:002018-03-12T22:19:13.422+01:00Bien sûr, la pêche de loisir n'a pas fait disp...Bien sûr, la pêche de loisir n'a pas fait disparaître le saumon de l'Allier, l'interdiction de la pêche de loisir ne suffit pas à le faire revenir. Le cas de l'axe Loire-Allier montre que l'on est encore loin d'avoir des bons modèles de population : des prédictions ont été faites qui ne se sont pas réalisées, malgré beaucoup de travaux et d'investissements depuis 40 ans. <br /><br />En revanche, n'idéalisez pas le milieu de pêche : allez sur les forums, vous verrez qu'il y a des débats tant sur la ré-ouverture de la pêche de l'Allier que sur des prises jugées excessives sur les côtiers de l'Ouest. <br /><br />Un petit film historique amusant, la pêche du saumon dans l'Allier en 1964 (qui ne donne pas envie de la ré-ouvrir):<br />https://youtu.be/KYrRwj_Ma2UHydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-67125285019652322018-03-12T21:41:19.980+01:002018-03-12T21:41:19.980+01:00Le saumon et les salmonidés en général ont un taux...Le saumon et les salmonidés en général ont un taux de reproduction 10 à 100 fois plus faible que les autres poissons et de ce point de vue, se placent de façon intermédiaire entre les oiseaux et les autres espèces de poissons. Dans le cas du Saumon les prélèvements en mer, la difficulté du retour et le peu de disponibilité de zones de frayères adaptées et accessibles font que la reproduction ne suffit pas à maintenir les populations.<br /><br />Ce dont je parlais est beaucoup mieux illustré par la résilience des populations piscicoles (y compris salmonidés) après une pollution accidentelle. Si les conditions sont laissées inchangés on constate que la restauration des populations s'effectue très rapidement (de l'ordre de quelques années) à condition toutefois que le cours d'eau puisse être recolonisé facilement à partir des parties du réseau hydrographique non atteintes par la pollution ce qui pose le problème de la continuité. <br /><br />Lorsque je parlais de pléthore je parlait du recrutement d'alevins à partir du fraie de populations adultes et non pas de ce qu'il restait d'une classe d'age 4 ou 5 ans après son avènement<br /> <br /><br />Pour en revenir à la Sélune, il est très improbable que les pêcheurs fassent du lobbying pour pratiquer leur loisir favori au moins tant que les populations ne sont pas suffisamment étoffées. L'exemple de l'Allier sur lequel la pêche au saumon est interdite depuis des années montre bien que l'impact de la pêche (amateur) n'est que rarement la cause des difficultés rencontrées par le Saumon. Il montre aussi que l'interdiction de toute pêche lorsqu'une population de saumons est menacée est acceptée voire demandée par les pêcheurs Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-72712404152574096332018-03-12T16:29:03.847+01:002018-03-12T16:29:03.847+01:00Aujourd'hui, on voit des comptages de remontée...Aujourd'hui, on voit des comptages de remontées de saumons où les effectifs sont plutôt en dizaines ou centaines, ce qui n'est pas très "pléthorique". Dans l'hypothèse où la rivière est entièrement "renaturée", ce serait probablement mieux (si le cycle océanique du saumon reste toutefois OK). Mais dans cette hypothèse-là, la rivière n'aurait pas de pêcheurs non plus, car la pêche n'est pas naturelle, et le choix de renaturation est d'abord un choix politique (donc il n'est viable que si vous assurez une certaine égalité des usages devant la norme choisie, ici la nature laissée à elle-même).<br /><br />C'est le problème de la Sélune : l'idée de destruction est avancée comme une expérience scientifique unique d'examen dans les moindres détails du retour du saumon après la suppression d'un grand obstacle. Donc en faire un spot de pêche au saumon serait contradictoire. Si casse il devait y avoir, la rivière serait dédiée à l'étude du saumon par les chercheurs pendant 9 ans. Et si les pêcheurs font du lobbying pour réclamer le droit d'attraper le saumon, ils perdront toute crédibilité dans le débat public comme "protecteurs des milieux".Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-10328063864901232312018-03-11T20:36:55.520+01:002018-03-11T20:36:55.520+01:00Sur le plan éthique libre a chacun de garder un av...Sur le plan éthique libre a chacun de garder un avis personnel sur le rapport aux animaux. Par contre sur le plan scientifique de la dynamique des populations les choses se présentent différemment suivant les espèces. Pour ce qui concerne la plupart des poissons dès que les conditions écologiques deviennent favorables la reproduction devient pléthorique et le facteur limitant est juste le nombre de reproducteurs qui n'ont pas besoin d'être très nombreux compte tenu de leur fertilité. il n'en est pas de même pour les les oiseaux et les mammifères qui ont des taux de reproduction souvent très faible (par rapport au poissons le rapport oscille entre 1/100 à 1/1millions suivant les espèces). L'interdiction ou la limitation des captures en matière piscicole est souvent davantage une mesure éthique qu'une réelle nécessité ... à part si on le considère comme une mesure punitive Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-38980319251656137342018-03-11T14:38:14.523+01:002018-03-11T14:38:14.523+01:00Les scientifiques travaillent sur les données d...Les scientifiques travaillent sur les données d'entrée de l'eau (les mesures de polluants, usage des sols, etc.). Les agences de l'eau ne sont pas scientifiques, et leur prose exprime l'idéologie publique du moment. Aucune assertion d'un SDAGE n'est scientifique au sens propre du terme (c'est-à-dire relevant d'une publication scientifique, ayant une méthode vérifiable et réfutable, des prédictions à tester, revue par les pairs etc.). <br /><br />Bien loin de vouloir "casser le thermomètre", nous observons régulièrement ici que des travaux scientifiques (en particulier en hydro-écologie quantitative) démontrent le relativement faible impact des densités de barrage sur les populations biologiques. Nous déplorons en revanche que l'écologie des milieux aquatiques dans sa version appliquée soit réduite à quelques indicateurs normalisés : ni les fonctionnaires rédigeant les SDAGE ni pour le coup les chercheurs ne viennent sur nos sites pour y comptabiliser les oiseaux, les amphibiens, les insectes, etc. Cela reste donc une écologie à maille grossière, une écologie de bureau qui fait du simplisme propre aux lourdes bureaucraties raisonnant en top-down (DCE> France>Grand bassin>Bassin>Site, quand vous arrivez au site vous avez un paquet de préjugés et de normes et de cadres prédéfinis, mais vous ne connaissez absolument rien de ce site...).<br /><br />Sur le pensum de la Loue, ce que vous retenez indique simplement vos obsessions. On a l'habitude.Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-28146972836624809152018-03-11T14:36:22.379+01:002018-03-11T14:36:22.379+01:00Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-23635935587935469462018-03-11T14:03:21.611+01:002018-03-11T14:03:21.611+01:00Il faut le répéter encore une fois : les scientifi...Il faut le répéter encore une fois : les scientifiques n'ont aucune autre source sur l'état des cours d'eau à l'échelle des bassin hydrographique que les mesures se suivi de bassin élaborés par les agences de l'eau et l'AFB. Dénigrer ces mesures c'est vouloir casser le thermomètre pour faire baisser la température mais c'est aussi porter l’opprobre sur tous les travaux de scientifiques qui n'ont que cette source de données pour leur travaux .... <br /><br />Petit détail enfin le Conseil Scientifique du Comité de Bassin Rhône Méditerranée (et non pas de l'agence de l'eau RMC) ne mène pas directement des travaux scientifiques si ce ne sont des travaux de synthèse et d'expertise mais conseille les instances de bassin. <br /><br />Dans votre pensum sur le Loue, je note : "effet des seuils et barrages (ce point étant peu développé car n'ayant pas connu d'évolution notable depuis plusieurs décennies, ce qui n'implique pas pour autant l'absence d'impact en synergie avec d'autres phénomènes)." qui conforte mon propos Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-76774049937475104842018-03-11T11:10:32.696+01:002018-03-11T11:10:32.696+01:00En ce domaine, chacun ses convictions éthiques, da...En ce domaine, chacun ses convictions éthiques, dans une société pluraliste on peut tolérer plusieurs rapports aux animaux.<br /><br />En revanche, si la puissance publique motive les mesures sur les rivières par la protection des milieux aquatiques et la reconstitution de populations "naturelles", il n'y aucune raison de considérer la pêche autrement que comme un impact (alevinages, pathogènes, introgressions génétiques, prélèvements, etc.). En ce cas, et en particulier pour les espèces faisant l'objet de protections françaises ou européennes, le no kill et la mise en réserve de large partie du linéaire devraient être la règle.<br /><br />Au-delà des ces questions, l'écologie d'un milieu aquatique (lotique ou lentique) ainsi que d'un milieu rivulaire ne se résume pas aux poissons. C'est déjà ce biais qu'il faut corriger : il est hérité des usages anciens de la rivière comme source de protéines pour l'homme, mais par rapport à ce que l'on nomme désormais biodiversité, la question des poissons n'a pas de raison d'être centrale.Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-38979364221170428312018-03-11T10:59:36.861+01:002018-03-11T10:59:36.861+01:00Il faut mettre un terme à l'inutile souffrance...Il faut mettre un terme à l'inutile souffrance des poissons<br />https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/animaux-marins/tribune-il-faut-mettre-un-terme-a-l-inutile-souffrance-des-poissons_121924<br /><br />Cette tribune, notamment signée par L214, Sea Shepherd et les Fondations Brigitte Bardot et 30 Millions d'amis, appelle à l'interdiction de la pêche de loisir dans les départements où la consommation des poissons d'eau douce est interdite.<br /><br />Tuer des poissons pour les manger, on peut le concevoir même si cela a pu contribuer à la baisse voire la disparition de certains espèces dans le passé. Tuer des poissons par accident, c'est déplorable mais involontaire. Tuer des poissons pour le plaisir... ? Et dire que la pêche est écologique ??Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-58981614526737518742018-03-10T23:37:49.364+01:002018-03-10T23:37:49.364+01:00Sur la Loue, nous vous suggérons de lire cet artic...Sur la Loue, nous vous suggérons de lire cet article, et de commenter en dessous si vous n'êtes pas d'accord avec les points mentionnés (le rapport des chercheurs du conseil scientifique de l'agence RMC est beaucoup plus intéressant que celui des hauts fonctionnaires du CGEDD, et les gens de l'ex Onema comme les pêcheurs devraient le relire attentivement) :<br />http://www.hydrauxois.org/2017/03/loue-et-rivieres-comtoises-situation.html<br /><br />Sur les rapports des SDAGE : cela ne vaut rien du tout, désolé de devoir le rappeler à chaque fois qu'on nous les mentionne. Ce n'est pas en agrégeant quelques données éparses depuis une sous-préfecture de bassin que vous diagnostiquez des cours d'eau. (Et que la majorité de ces cours d'eau subissent des pressions, c'est un truisme puisque l'on appelle aujourd'hui "pression" tout changement d'origine humaine dans la rivière, la berge ou le bassin versant.) Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-87445747079770725212018-03-10T22:35:42.484+01:002018-03-10T22:35:42.484+01:00Votre réponse témoigne d'une grande méconnaiss...Votre réponse témoigne d'une grande méconnaissance de l'état des cours d'eau dans notre pays. je vous renvoie aux états des lieux des SDAGE qui montrent que la majorité de nos cours d'eau sont l'objet de pressions notamment hydro-morphologiques et de continuité mais également de pollution qui font que notre pays n'est pas du tout une destination prisée pour le tourisme halieutique. Par exemple vous citez la Franche Conté alors que la Loue est gravement atteinte par la pollution diffuse alors que les retenues qui s'égrainent sur son cours ont amoindri son pouvoir d'épuration ( voir rapport du CGEDD)Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-46767730940140661022018-03-10T22:24:57.592+01:002018-03-10T22:24:57.592+01:00précision:
les mesures de protection d'oiseaux...précision:<br />les mesures de protection d'oiseaux piscivores produit son effet: ces oiseaux deviennent une calamité qui met en péril la pisciculture d'eau douceAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-56058247966421271132018-03-10T19:27:26.631+01:002018-03-10T19:27:26.631+01:00Le soutien de la LPO à la destruction de deux lacs...Le soutien de la LPO à la destruction de deux lacs est particulièrement lamentable. La même LPO se laisse régulièrement séduire par les industriels de l'éolien pour donner des avis favorables à des projets alors que la mortalité aviaire est démontrée. Tenus par les subventions et aux ordres des préfets??? En tout cas décevant, surtout que les pêcheurs tirent des oiseaux quand ils estiment que cela menace leurs poissons!Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-5646103906227855482018-03-10T18:44:19.567+01:002018-03-10T18:44:19.567+01:00Vous interprétez mal.
Le pêcheur de poissons &qu...Vous interprétez mal. <br /><br />Le pêcheur de poissons "sauvages" (?), il a déjà des dizaines de milliers de kilomètres peu impactés pour son loisir en France, et si cela ne lui suffit pas, il a également des pays nettement moins peuplés que la France ayant conservé davantage de rivières sans ouvrage. Donc ce pêcheur peut bouger et devrait aller sur ces linéaires qui s'offrent à lui, sans chercher à transformer les rivières aménagées. <br /><br />Comparaison : si vous êtes un jogger et que vous aimez la forêt, eh bien vous allez en forêt, vous ne demandez pas qu'on arase la ville pour y replanter des arbres. Le pêcheur, c'est pareil : il a le droit de ne pas aimer une retenue de barrage, donc il prend son vélo et il va dans des affluents, on alors à l'amont / à l'aval du barrage, bref il adapte sa pratique aux réalités et aux autres usages. <br /><br />Notre association connaît mal les côtiers, étant implantée en tête de bassin amont des grands axes fuviaux. Mais sur ces têtes de bassin, nous pouvons témoigner : les pêcheurs de truites et ombres qui prétendent qu'ils n'ont pas de tronçons "sauvages" à cause de la continuité en long en Bourgogne ou en Franche Comté sont simplement des manipulateurs ou des ignorants. <br /><br />Sur toutes les rivières de première catégorie ou presque, on observe que le taux d'ennoiement est réduit, c'est-à-dire que les cours d'eau présentent d'ores et déjà tout ce qu'il faut en zone de radiers-rapides-plats. Donc les pêcheurs qui s'y plaignent des moulins et barrages sont surtout des militants qui veulent toute la rivière, sans y supporter la présence d'étang ou de retenues sur une partie du lit. Et les mêmes pêcheurs devraient plutôt s'inquiéter des ripisylves disparues, des charges en nutriments, pesticides et matières fines, tous autres impacts qui se sont aggravés depuis les années 1950-1960, époque où beaucoup (dont Verneaux) observaient que les rivières étaient plus poissonneuses malgré la présence des moulins et autres. <br /><br />La même remarque vaut pour la densité de migrateurs ou de poissons spécialisés d'eaux froides : le pêcheur qui se plaint parce qu'il en veut "plus", c'est juste un prédateur pas content d'avoir 100 plutôt que 1000 truites à l'hectare, donc d'avoir moins de prises quand il sort en rivière. <br /><br />Mais le non-pêcheur (97% de la population) n'est pas concerné : si un hydrosystème a moins de telle ou telle espèce de poissons en raison de son évolution historique, cela n'a rien de très grave en soi, en tout cas rien qui justifie des fortes dépenses d'argent public et de fortes nuisances aux riverains pour faire plaisir aux pêcheurs de truites, aloses ou saumons.Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-50147443122885026382018-03-10T17:44:15.691+01:002018-03-10T17:44:15.691+01:00C'est drôle, en lisant l'article, on voit ...C'est drôle, en lisant l'article, on voit qu'il y a d'un côté les bons pêcheurs qui aiment pêcher les poissons blancs et les carpes dans les retenus des barrages et des seuils (milieux anthropisés) et de l'autre les mauvais pêcheurs qui eux préfèrent pêcher des poissons sauvages dans des rivières plus naturels sans barrages. Drôle de point de vue!Oliviernoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-27193464570802671432018-03-10T00:07:38.440+01:002018-03-10T00:07:38.440+01:00Il faut en effet revenir au droit : celui de la pê...Il faut en effet revenir au droit : celui de la pêche est clair en non-domanial. Là où les pêcheurs vivent en bonne harmonie avec les autres usages et les riverains, il n'y a pas de raison que cette tolérance mutuelle se dégrade. Là où les pêcheurs soutiennent activement des politiques de démantèlement, ils s'excluent d'eux-mêmes de ces bonnes pratiques. Ils devront alors justifier l'existence de droits de pêche sur tout le domaine que l'AAPPMA prétend ouvert, et iront devant la justice s'ils refusent ou sont incapables d'apporter ces justifications à qui le leur demande. (Nota : les riverains qui ne souhaitent pas avoir de mauvais rapports personnels peuvent contacter notre association, qui a capacité à agir au plan national et qui agira en ce domaine par simple demande d'exécution des dispositions du code de l'environnement, sans personnaliser la question. C'est juste une affaire de respect du droit, ne peut être parcours de pêche que les tronçons dont l'AAPPMA est propriétaire ou sur lesquels elle a un bail valide, au moins une rive.) Hydrauxoishttps://www.blogger.com/profile/01509493204609560309noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4640821211368730404.post-54987496986297427632018-03-09T22:32:23.018+01:002018-03-09T22:32:23.018+01:00l'analyse est pertinente: les pêcheurs, s'...l'analyse est pertinente: les pêcheurs, s'ils estiment avoir tous les privilèges, oublient qu'ils n'ont pas tous les droits. Notamment le droit de pêche à partir des propriétés privées riveraines. <br />Il leur restera le droit de chasse...aux subventions.<br />Leur posture est incohérente car dans les autres départements, ils n'ont de cesse de louer ou d'acquérir de grands étangs et se targuent de gérer les grands lacs de barrages hydroélectriques.<br />Comprenne qui pourra.Anonymousnoreply@blogger.com