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25/07/2013
Chantier bénévole du Foulon de la Laume: la renaissance du barrage de Semur-en-Auxois
Après les crues de mai et le printemps globalement pluvieux, les jours sont devenus plus cléments, les eaux plus calmes. Le chantier bénévole de restauration du Foulon de la Laume (barrage de Semur-en-Auxois) a démarré avec l'été. Débroussaillage, réfection de la passerelle (pose de lambourdes et lattes en chêne), démontage du mécanisme de vanne (bloqué), retrait des embâcles... les volontaires ne chôment pas depuis un mois et demi! Il reste encore à faire pour cette première phase : fin de la passerelle, reprise des maçonneries de culée en rive gauche, fixage des anciens lampadaires, rambarde de sécurité, remise en place de la grille d'accès... Quelques photographies (cliquer pour agrandir).
03/07/2013
Un succès pour les premières Rencontres hydrauliques de Semur-en-Auxois
Une soixantaine de personnes ont participé aux premières Rencontres hydrauliques organisées par notre association à Semur-en-Auxois. Beaucoup étaient riverains de l’Armançon, de la Brenne, du Serein ou du Cousin. Mais on notait aussi la présence d’une délégation de l’Association départementale de sauvegarde du patrimoine aubois des moulins et de leurs activités (Aspama), d’autres passionnés de l’hydraulique venus de Nièvre et du Jura, d’Alain Wicker (Syndicat du Cousin), de Philippe Benoist (cofondateur de l’Observatoire de la continuité écologique et des usages de l’eau) et Jean-Marie Pingault (conseiller juridique FFAM).
Le président de l’association, C.F Champetier, a proposé un panorama des enjeux de l’hydraulique en Auxois-Morvan. Il a naturellement insisté sur la mise en œuvre de la continuité écologique qui forme pour les ouvrages en rivière la principale actualité du moment. Alors que la Cour de justice de la Communauté européenne vient de condamner la France pour non-application de la Directive Nitrates (1991) et que les mesures physico-chimiques exigées par la Directive-cadre du l’eau de 2000 manquent encore sur chaque tronçon de rivière du département comme de la région, le président d’Hydrauxois s’est étonné que certains désignent les barrages, seuils et chaussées comme causes principales de dégradation de la qualité de l’eau.
Sur ce thème de la continuité, les propriétaires et riverains restent aujourd’hui dans l’expectative, car l’autorité en charge de l’eau (DDT, Onema) n’a pas encore spécifié les conditions de mise en œuvre du nouveau classsement des rivières.
Comment évalue-t-on la qualité d’un transport sédimentaire ? Les espèces piscicoles décrites dans le classement ont-elles des besoins en montaison ou en dévalaison ? Quels modèles de passes sont aujourd’hui homologués ? Les moulins situés à proximité immédiate d’un obstacle infranchissable (chute naturelle, grand barrage VNF) ont-ils obligation d’aménager pour un linéaire très court ? L’Agence de l’eau contribuera-t-elle quand les moulins produisent leur énergie ou quand les sites sont des éléments importants du patrimoine hydraulique ?
Tant que les propriétaires ne disposent pas d’informations plus précises sur ces questions, il leur sera difficile de proposer des projets d’aménagement complets à la DDT de l’Yonne ou de la Côte d’Or.
L’autre grand thème de l’actualité des rivières est bien sûr la transition énergétique. Le président d’Hydrauxois a présenté les conclusions du rapport de la Coordination Hydro 21 sur la contribution de la micro-hydraulique à cette transition : avec un potentiel de 5 MW pour la seule Côte d'Or, l’énergie de l’eau a toute sa place sur nos territoires. La projet de restauration du Foulon de Laume (Semur-en-Auxois), dont l’association vient de publier une étude d’opportunité, est emblématique de cet enjeu : sa puissance de plus de 100 kW est assez notable pour les petites rivières de tête de bassin versant. Le maire de Semur-en-Auxois, M Philippe Guyenot, a exposé au public l’engagement de sa ville pour les énergies renouvelables et dit son espoir que la DDT reconnaisse rapidement le règlement d’eau du site, ce qui est la condition pour pousuivre l’aménagement. Catherine Sadon, qui avait soutenu très tôt le Collectif de défense du barrage, était aussi présente dans la salle, tout comme plusieurs membres de l'équipe municipale engagée dans la valorisation du site.
Dans ce domaine énergétique, les participants se posaient également de nombreuses questions : faut-il autoproduire ou vendre sur le réseau ? Quels équipements garantissent le meilleur rendement pour des rivières au débit très variable, et globalement assez faible ? Comment se positionne l’administration par rapport aux projets énergétiques ?
Le temps — depuis le matin, un crachin peu conforme à une fin juin — étant enfin devenu plus clément, les congressistes ont pu descendre par la rue de l’Abreuvoir et le chemin du Foulon jusqu'au barrage du Foulon de la Laume, que beaucoup découvraient ce jour-là. Le chantier bénévole, animé par Janqui Motz, a été retardé par la météorologie et l’hydrologie très perturbées du printemps 2013, mais la pose de la nouvelle passerelle a tout de même avancé et la vanne est maintenant accessible. La passerelle sera terminée cet été et les embâcles qui encombrent le barrage après la grande crue du printemps seront dégagées.
Au cours de la promenade et de l’apéritif offert par l’association, les participants ont pu faire connaissance et échanger sur les sujets qui les motivaient : difficultés face aux crues, gestion des embâcles, droit d’eau et règlement d’eau, etc.
Une date à retenir dès à présent : après ce premier succès, Hydrauxois a décidé de pérenniser l’événement et de fixer le dernier samedi de juin comme rendez-vous annuel. Les deuxièmes Rencontres hydrauliques auront donc lieu le samedi 28 juin 2014. A noter sur vos agendas! Nous espérons ces Rencontres deviennent un grand rendez-vous régional pour les passionnés de l’énergie, de l’environement et du patrimoine hydrauliques.
Le président de l’association, C.F Champetier, a proposé un panorama des enjeux de l’hydraulique en Auxois-Morvan. Il a naturellement insisté sur la mise en œuvre de la continuité écologique qui forme pour les ouvrages en rivière la principale actualité du moment. Alors que la Cour de justice de la Communauté européenne vient de condamner la France pour non-application de la Directive Nitrates (1991) et que les mesures physico-chimiques exigées par la Directive-cadre du l’eau de 2000 manquent encore sur chaque tronçon de rivière du département comme de la région, le président d’Hydrauxois s’est étonné que certains désignent les barrages, seuils et chaussées comme causes principales de dégradation de la qualité de l’eau.
Sur ce thème de la continuité, les propriétaires et riverains restent aujourd’hui dans l’expectative, car l’autorité en charge de l’eau (DDT, Onema) n’a pas encore spécifié les conditions de mise en œuvre du nouveau classsement des rivières.
Comment évalue-t-on la qualité d’un transport sédimentaire ? Les espèces piscicoles décrites dans le classement ont-elles des besoins en montaison ou en dévalaison ? Quels modèles de passes sont aujourd’hui homologués ? Les moulins situés à proximité immédiate d’un obstacle infranchissable (chute naturelle, grand barrage VNF) ont-ils obligation d’aménager pour un linéaire très court ? L’Agence de l’eau contribuera-t-elle quand les moulins produisent leur énergie ou quand les sites sont des éléments importants du patrimoine hydraulique ?
Tant que les propriétaires ne disposent pas d’informations plus précises sur ces questions, il leur sera difficile de proposer des projets d’aménagement complets à la DDT de l’Yonne ou de la Côte d’Or.
L’autre grand thème de l’actualité des rivières est bien sûr la transition énergétique. Le président d’Hydrauxois a présenté les conclusions du rapport de la Coordination Hydro 21 sur la contribution de la micro-hydraulique à cette transition : avec un potentiel de 5 MW pour la seule Côte d'Or, l’énergie de l’eau a toute sa place sur nos territoires. La projet de restauration du Foulon de Laume (Semur-en-Auxois), dont l’association vient de publier une étude d’opportunité, est emblématique de cet enjeu : sa puissance de plus de 100 kW est assez notable pour les petites rivières de tête de bassin versant. Le maire de Semur-en-Auxois, M Philippe Guyenot, a exposé au public l’engagement de sa ville pour les énergies renouvelables et dit son espoir que la DDT reconnaisse rapidement le règlement d’eau du site, ce qui est la condition pour pousuivre l’aménagement. Catherine Sadon, qui avait soutenu très tôt le Collectif de défense du barrage, était aussi présente dans la salle, tout comme plusieurs membres de l'équipe municipale engagée dans la valorisation du site.
Dans ce domaine énergétique, les participants se posaient également de nombreuses questions : faut-il autoproduire ou vendre sur le réseau ? Quels équipements garantissent le meilleur rendement pour des rivières au débit très variable, et globalement assez faible ? Comment se positionne l’administration par rapport aux projets énergétiques ?
Le temps — depuis le matin, un crachin peu conforme à une fin juin — étant enfin devenu plus clément, les congressistes ont pu descendre par la rue de l’Abreuvoir et le chemin du Foulon jusqu'au barrage du Foulon de la Laume, que beaucoup découvraient ce jour-là. Le chantier bénévole, animé par Janqui Motz, a été retardé par la météorologie et l’hydrologie très perturbées du printemps 2013, mais la pose de la nouvelle passerelle a tout de même avancé et la vanne est maintenant accessible. La passerelle sera terminée cet été et les embâcles qui encombrent le barrage après la grande crue du printemps seront dégagées.
Au cours de la promenade et de l’apéritif offert par l’association, les participants ont pu faire connaissance et échanger sur les sujets qui les motivaient : difficultés face aux crues, gestion des embâcles, droit d’eau et règlement d’eau, etc.
Une date à retenir dès à présent : après ce premier succès, Hydrauxois a décidé de pérenniser l’événement et de fixer le dernier samedi de juin comme rendez-vous annuel. Les deuxièmes Rencontres hydrauliques auront donc lieu le samedi 28 juin 2014. A noter sur vos agendas! Nous espérons ces Rencontres deviennent un grand rendez-vous régional pour les passionnés de l’énergie, de l’environement et du patrimoine hydrauliques.
17/06/2013
13/06/2013
Rendez-vous de juin
Les Journées du patrimoine et des moulins se tiendront les 15 et 16 juin prochains. Informations sur le site du ministère et celui de la FFAM (Fédération des associations de sauvegarde des moulins).
Hydrauxois organisera pour sa part les rencontres hydrauliques de Côte d'Or le samedi 29 juin, de 15 à 19 h, à Semur-en-Auxois. Le programme sera très bientôt publié sur ce blog. Le président de l'association (C.F. Champetier) assistera le 22 juin prochain à l'AG de France Hydro Electricité, où il évoquera devant les adhérents du syndicat de producteurs les travaux menés dans le cadre de l'Observatoire de la continuité écologique et des usages de l'eau.
A très bientôt !
Hydrauxois organisera pour sa part les rencontres hydrauliques de Côte d'Or le samedi 29 juin, de 15 à 19 h, à Semur-en-Auxois. Le programme sera très bientôt publié sur ce blog. Le président de l'association (C.F. Champetier) assistera le 22 juin prochain à l'AG de France Hydro Electricité, où il évoquera devant les adhérents du syndicat de producteurs les travaux menés dans le cadre de l'Observatoire de la continuité écologique et des usages de l'eau.
A très bientôt !
25/12/2012
13/12/2012
Le projet d'aménagement du barrage de Semur-en-Auxois est lancé!
L'association
Hydrauxois vient de signer une convention avec la Commune de
Semur-en-Auxois en vue de valoriser le barrage communal, dit Foulon
de la Laume. Pour Hydrauxois, c'est évidemment un grand honneur et
une grande responsabilité. La Commune a annoncé le lancement du
projet d'aménagement dans le magazine de la ville (Semur
Mag 12) et dans Dijon
Beaune Mag.
Les 7
dimensions d'un vrai projet d'aménagement
Que signifie
concrètement un projet d'aménagement du barrage de la ville ?
Plusieurs dimensions doivent être prises en compte, qui reflètent
tous les usages actuels et futurs de l'eau comme des berges.
Production énergétique. C'est
la fonction première du barrage. Et aussi la seule source de
revenus, donc la condition de financement des autres aménagements.
La puissance d'équipement du barrage est comprise entre 100 et 150
kW (production annuelle entre 3 et 5 MWh) et différents dispositifs
peuvent être installés sur des petites centrales de cette dimension
: roue hydraulique moderne, vis hydrodymanique, turbine à
réaction... La filière est très active en France et d'autres
communes de Côte d'Or (comme Gomméville)
réfléchissent à la production micro-hydraulique. Avec les 100 kW
crête des panneaux solaires installés sur le gymnase,
Semur-en-Auxois pourrait envisager de produire elle-même
l'équivalent électricité de tout son éclairage public, à moindre
coût, dans une logique durable et «verte». Pour le
domaine hydraulique, au moins 5 moulins seraient par ailleurs équipables sur
Semur-en-Auxois en plus du barrage. A noter : la récente contestation du droit d'eau de la ville par DDT ne remet évidemment pas en question ce volet énergétique, tant cette contestation est manifestement infondée sur le plan des faits et du droit.
Continuité écologique. Comme
ils le font dans d'autres communes de Côte d'Or, le syndicat de
rivière (Sirtava), l'Onema et l'Agence de l'eau Seine-Normandie ont
vocation à examiner comment restaurer au mieux les fonctions
écologiques de l'Armançon. Cela prend la forme de différentes
hypothèse de passe à poissons (franchissement des migrateurs) et de
vannage (bon transit des sédiments). Ces solutions évitent la
destruction des sites tout en améliorant la qualité des milieux
aquatiques. Il s'agit de viser le meilleur rapport coût économique
/ efficacité écologique.
Aménagement paysager. Le site
du Foulon de la Laume est très apprécié, mais pas toujours très
pratique. La plaine à l'aval de la digue est encombrée de gravats
(destruction malheureuse de l'ancienne usine en 1987).
L'atterrissement devant la digue, au bord de l'eau, peut être élargi
pour former une aire de pique-nique très agréable aux beaux jours.
De même que, comme à l'époque du centre social EDF, la prairie
devant la digue est appelé à offrir un cadre agréable pour les
familles semuroises.
Usages sociaux. Le barrage
fournit au premier chef de l'énergie, donc des revenus. Mais le site
du barrage ne saurait se limiter à cet emploi : pêcheurs,
promeneurs, randonneurs (à pied, à vélo ou à cheval) ont leur mot
à dire sur l'avenir du site. Celui-ci, du fait de sa géométrie
très particulière (large talweg adossé à un cirque de granit
venant du socle du Morvan) et de son isolement du reste de la ville,
offre un cadre très esthétique pour toute sortes d'activités ne
dérangeant pas le voisinage : fêtes, concerts, mariages, etc.
Valorisation patrimoniale. Le
patrimoine hydraulique de Semur-en-Auxois est exceptionnel, avec des
témoignages allant de l'époque médiévale à l'époque
industrielle. Ce patrimoine, déployé au fil de l'Armançon, peut
être intelligemment valorisé par l'Office du tourisme de la ville,
afin de renforcer le rayonnement de la ville et l'information de ses
habitants. Dans le cas du barrage du Foulon de la Laume, nous sommes
en présence d'un des plus anciens sites de production
hydro-électrique de plaine (première production en 1891, voir cette
plaquette d'information). Le ministère de la Culture, l'architecte des bâtiments de France et l'architecte du secteur sauvegardé ont d'ailleurs témoigné récemment de l'intérêt de ce patrimoine hydraulique semurois.
Rôle pédagogique et didactique.
Le site du Foulon de Laume a produit de l'énergie de manière
continue pendant cinq siècles, de la fondation du premier moulin en
1461 à l'arrêt de l'usine EDF en 1961. Et il en produira demain de nouveau. Les collégiens, les
lycéens, les promeneurs et les touristes devraient découvrir sur le
site des informations sur l'énergie et l'environnement hydrauliques.
Rigueur économique. Dans un
monde idéal, tous les aménagements seraient possibles car on ne
regarderait pas à la dépense. Mais nous vivons dans le monde réel,
et il faudra être particulièrement vigilant sur l'équilibre
budgétaire, indispensable en cette période difficile. Le projet
d'aménagement devra tenir compte des aides publiques consenties à
la restauration écologique, énergétique et patrimoniale. Beaucoup
de projets sont chers – particulièrement des projets publics dans
le domaine hydraulique – parce qu'un effort insuffisant est
consacré à la préparation de chaque phase et au choix de chaque
équipement, en prenant tout le temps de rechercher les meilleures
solutions de marché. Ce temps, nous le prendrons à Semur.
Participation
et concertation tout au long du projet
Un tel projet ne se réalise pas en
quelques semaines ou mois. Car il mobilise de nombreux prestataires
et partenaires. Il doit aussi associer toute la population. Le projet
d'aménagement du barrage du Foulon de Laume ne doit en aucun cas
rester l'affaire d'un «petit comité d'experts» qui
décide tout sans consulter les citoyens.
C'est précisément cette dimension
antidémocratique qui a été très mal appréciée dans le premier
projet d'effacement porté par l'Agence de l'Eau et le Syndicat de
rivière : les Semurois se voyaient imposer à la va-vite une
«solution» dictée non par une urgence écologique
particulière, mais par une simple pression administrative (la
circulaire Grenelle 2010 concernant les 1200 ouvrages prioritaires à
l'effacement, voir cet
article sur les nombreux problèmes que posait le projet
d'effacement).
Les citoyens de Semur-en-Auxois auront
l'opportunité de s'associer au projet d'aménagement d'au moins deux
manières.
Chantier municipal et citoyen. Les
premiers travaux de restauration, réalisés sur la base des
préconisations déjà effectuées en août 2012 par le bureau
d'études Somival, se feront sur la forme d'un chantier ouvert à
tous les volontaires. Il faut donner un coup de jeune au Foulon de la
Laume ! Retirer les embâcles de rivières, débroussailler pour
faire renaître le canal de fuite datant de l'époque médiévale,
restaurer la passerelle... au cours des prochains mois, des journées
de travail seront organisées, avec parfois l'assistance des employés
municipaux de la Commune. Si vous êtes prêts à vous engager,
prenez contact avec notre association.
Etats généraux de l'Armançon. A
partir de 2013, la Commune et
notre association organiseront les «Etats-généraux de
l'Armançon». Ces réunions publiques permettront aux
représentants des associations semuroises, aux élus et aux
partenaires (Onema, DDT, Sirtava) de faire le point ensemble sur
l'état d'avancement du projet d'aménagement. Ce sera un lieu de
concertation et de participation, chacun pouvant apporter des
questions, des observations, des critiques constructives sur les
enjeux de l'Armançon à Semur. Hydrauxois est chargée de coordonner
la participation associative : donc là encore, prenez contact
avec nous dès à présent.
La
mobilisation exceptionnelle des associations, des citoyens et des
élus a permis au début de l'année de sauver le barrage d'un
effacement programmé par des instances lointaines, au mépris de
l'intérêt général de la ville. Nous entrons dans une deuxième
phase, plus longue, plus difficile mais aussi plus passionnante, où
il nous revient de valoriser au mieux le patrimoine de notre ville.
Toutes les énergies, toutes les volontés et toutes les idées sont
bienvenues !
16/09/2012
Accord Hydrauxois-Arpohc
Une délégation d'Hydrauxois a
participé le samedi 15 septembre 2012 à l'Assemblée générale des
l'Association des riverains et propriétaires d'ouvrages hydrauliquesdu Châtillonnais (Arpohc), dirigée par le dynamique Christian
Jacquemin (ci-contre, photo du bureau).
Les deux associations ont conclu un accord sur plusieurs initiatives communes : veille documentaire sur l'hydraulique, co-publication du futur Guide de la continuité écologique, réflexion partagée pour mettre en place une base d'information en ligne sur le patrimoine, engagements de terrain pour la défense des ouvrages menacés d'effacement sur la Côte d'Or.
Les deux associations ont conclu un accord sur plusieurs initiatives communes : veille documentaire sur l'hydraulique, co-publication du futur Guide de la continuité écologique, réflexion partagée pour mettre en place une base d'information en ligne sur le patrimoine, engagements de terrain pour la défense des ouvrages menacés d'effacement sur la Côte d'Or.
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